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    Je t'aime
    Je ne vis qu'à travers toi et que par toi la vie est tellement plus belle aujourd'hui.
    Tu es tout pour moi: ton absence me rend triste, j'ai froid sans toi. J'ai besoin de ta voix, de ta chaleur, de ta présence. J'aime tout de toi, ton intelligence,
    ton humour, ta clairvoyance, ta patience, ta douceur, ton rire ta soif de vivre, ta curiosité, la passion que tu mets dans toutes choses, ta beauté, ton style, ton look, l'odeur de ta peau, la tendresse de tes lèvres, la sécurité de tes bras la pureté de ton regard, ton esprit, la tranquillité de ton sommeil, l'attirance de tes cuisses, le galbe de tes seins, la rondeur de tes fesses. Les mots me manquent pour exprimer combien tu comptes pour moi. Je veux vivre le reste de ma vie avec toi. Je veux partager les moindre moments de ton existence, les bons comme les mauvais. Je veux partager ta joie, te soutenir
    dans les moments de tristesse. Je veux t'aider à accomplir tes projets, t'aider à laisser une trace dans l'histoire, t'aider à devenir immortel. Je veux que tu puisses réaliser tout ce que tu as toujours souhaité. Pour l'instant la vie nous éloigne l'une de l'autre. Comme tu me l'as écrit un jour "il faudra que l'on puisse toujours trouver du temps pour nous". Dans ces même lettres tu as écrit: "j'espère que le faible que tu as pour moi ne s'affaiblira jamais". Ce faible n'a fait que grandir au cours de ces deux années il s'est transformé en un amour qui lui même ne cesse de s'accroître. J'espère qu'il en sera ainsi toute notre vie. Je ne te remercierais jamais assez pour m'avoir fait découvrir tout ça.
    Je ne remercierais jamais assez la vie ou la chance d'avoir croisé ton chemin. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée.
    Je t'aime et t'aimerai toujours.

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  • Vous vous êtes déjà senti inutile et incompétent? Moi oui et pas plus tard qu'aujourd'hui. Je crois que je n'assume pas ma fonction. En fait c trop lourd pour moi...j'ai beaucoup surestimé mes capacités. Moi qui ne vis qu'au travers du regard des autres et bien j'en prend un coup. En un rien de temps, je ne suis plus rien, on doute sur ce que je fais et bien évidemment sur ce que j'ai déjà réalisé... "Elle a fait tout ça mais en fait c peut être que du vent, on s'est fait berner"
    J'y ai pourtant mis tout ce que j'avais sans compter les heures ni mon salaire. Je dois être incompétente...

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  • Je suis donc rentré dans une période « chasteté, sobriété ». Je me suis construite une armure contre tout type de sentiments, le nec plus ultra. Je me forçais à ne penser à rien, à ne surtout pas me poser des questions. C'est un exercice difficile essayez !
    Le secret c'était le travail : bosser, bosser, bosser et rien d'autre à coté. Un seul mot d'ordre « le boulot sera ma seule chose dans la vie ». Se remettre en question sans arrêt et surtout ne pas avoir confiance en soit.
    Ça a marché, trop bien marché. Un jour une amie à moi me tend un petit mot dans lequel elle écrit que je suis sa meilleure amie. Quoi ? moi ? c'est pas possible ? comment est-ce que je peux intéresser quelqu'un ? Bref ça marchait bien...

    Après le lycée, sans histoire spectaculaire, arrive la fac. Ah la fac, c'est la vraie liberté : celle de travailler ou de ne rien foutre. Moi j'avais choisi, vous le savez, mais je ne savais pas trop dans quoi. La biologie me sembla la plus appropriée. J'étais à ce moment là en collocation avec les même nanas qu'au lycée. Comme ça pas de problème on se connaît déjà. Nous vivions donc à 3 dans un T2 en centre ville. Bref le pied. Parmi elle il y avait ma meilleure amie donc. Elle m'intriguait beaucoup, on s'entendait bien comme larron en foire. Elle piquait ma curiosité. Il y a avait quelque chose chez elle que je n'arrivais pas à définir. En plus ça m'arrangeait bien je pensais à elle plutôt qu'à moi et c'était mieux.
    C'était quelqu'un de très discret, de doux, d'une gentillesse infinie. J'adorais discuter avec elle de tout et de rien, elle ne m'a jamais ennuyé contrairement à beaucoup d'autre. Oui...il ya avait quelque chose chez elle que je n'arrivais pas à définir...

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  • Pendant ce temps coté cœur, plus rien...c'est pas que je m'en foutais mais comme je faisais tout pour être invisible c'était normal. Un jour pourtant il y en a un qui m'a beaucoup plu. Il était sympa et beau comme un dieu (grec s'entend...). On était dans la même association de musique. Je lui tournais autour aussi subtilement qu'un vautour sur sa proie. Il ne s'est rendu compte de rien du tout. Bon faut dire le look garçon manqué ça plait pas à tout le monde c'est vrai. Un jour j'ai remarqué que son attention était attiré par une autre nana, beaucoup plus féminine (c'était pas difficile). D'autant plus que la fille en question m'intriguait moi aussi, je l'aimais bien, elle me plaisait...et là stop ça fait beaucoup de chose en même temps. On se pose des questions :
    - « t'es folle une fille »
    - « non mais je suis pas homo, je l'aime bien c'est tout, c'est une copine »
    - « oui ben t'arrête tout de suite »

    Loin de me remettre en question, je n'ai plus voulu être déçu, j'ai donc décidé : « plus jamais ça ».

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  • Au collège on vous pose la question qui tue : « qu'est ce que tu veux faire plus tard ? ».
    - « Moi, ben euh, je ne sais pas. »
    - « Il faut avoir un but dans la vie voyons !! ah ces jeunes ! »
    - « je sais : archéologue »
    - « mais tes résultats sont moyens »
    - « prof de sport alors » (genre : ça doit pas être difficile ça...)
    - « bon, bon de toute façon on t'envoie au lycée en seconde générale, aujourd'hui y a que ça qui compte »
    Là c'est la conseillère d'orientation qui parle. A la fin de l'entretien vous avez envie de lui dire, pourquoi m'avoir posé cette question « pifia » ! On l'appelait Pifia à cause de son nez proéminent.
    Et voilà on se retrouve en seconde. On vous a dit « la seconde ça change », « il y a plus de travail..etc. », en réalité c'était bien marrant surtout à l'internat. On en foutait pas une, c'était la belle vie.

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